La discussion du séminaire s’est concentrée sur la question de la «pensée» dans la déclaration «Penser d’abord à l’humain». La discussion a débuté à partir d’une tension inhérente observée dans le concept de «penser d’abord à l’humain», suggérant la nécessité de recentrer le progrès technologique sur les valeurs humaines, l’éthique et les impacts sociétaux, tout en reconnaissant que les perspectives centrées sur l’humain peuvent avoir contribué à des crises environnementales telles que l’Anthropocène. Le panel visait à explorer le concept de «penser» dans le contexte du XXIe siècle.
Les membres du panel de TU Dublin comprenaient le professeur Noel Fitzpatrick (philosophe), le professeur John Kelleher (informaticien), le Dr Conor McGarrigle (artiste), le Dr Ester Toribio-Roura (MSCA Post-Doc), Sinead Mc Donald (candidat au doctorat) et Mick O'Hara.
La table ronde s’est penchée sur la question de la «pensée» dans la déclaration «Penser d’abord à l’humain». L'impératif de comprendre ce que signifie donner la priorité à la pensée humaine est devenu évident avec l'essor de l'IA, des plateformes de réseaux sociaux et des défis imminents du changement climatique. La discussion a mis en évidence la double nature de «penser d’abord à l’humain», suggérant la nécessité de recentrer les progrès technologiques sur les valeurs humaines, l’éthique et les implications sociétales, tout en reconnaissant que l’accent mis sur les intérêts humains (anthropocentrisme) peut avoir joué un rôle dans des crises environnementales telles que l’anthropocène. Le panel visait à aborder la question de la «pensée» au XXIe siècle.
Un autre élément intéressant qui a émergé lors du séminaire a été l'urgence de comprendre ce que signifie donner la priorité à la pensée humaine avec l'expansion de l'IA et des plateformes de réseaux sociaux, parallèlement aux défis imminents posés par le changement climatique.